La marche douce le fut, malgré un vent assez vif sur les reliefs exposés. Du plan d’eau on s’élève gentiment ; la voie du train touristique on la rencontre deux fois puis nous voilà sur une côte un peu raide avant de redescendre tranquillement entre forêts et prairies ouvertes, bien vertes. Un bon moment, sous un ciel clément, en dépit d’un genou douloureux pour l’une d’entre nous, mais aventurière dans les gènes.
